Concert : Les illuminations de la casserole

Le vendredi 18 mars 2011, à 18h30, l’atelier de la Casserole présente son spectacle poétique et musical « Les illuminations de la Casserole » (textes et musique de Bastien Touret, poèmes de Gaston Couté). Au programme :

  • Perrette sur la paille, anti-fable affable, poétique et balancée.
  • Ceux qui sont passés à la casserole, portraits folkloriques à sourire debout.

Voir le livret

Réservations sur place ou par téléphone au 02.54.94.41.91

Musique à l’étage : la guitare électrique

Samedi 8 janvier 2011, à 15h30, la guitare électrique est à l’honneur dans le cadre de Musique à l’étage, en présence de Sébastien Janjou, musicien et professeur de musique à Orléans.

 

Musique : les bonnes vibrations

The Cinematic Orchestra

Jason Swinscoe est un DJ londonien qui travaille pour le label Ninja Tunes. Quand il décide de réaliser son premier disque, pour des raisons juridiques, il prend pour pseudonyme « The Cinematic Orchestra ».

Dans le même temps il ouvre un club à Londres, The Loop, où il invite des musiciens (DJ pour la plupart) à venir improviser sur des projections de films. Pendant cette période naît l’album «The Man with a movie camera», pour lequel il crée une bande originale inspiré par le film de Dziga Vertov (1929).

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Musique : les bonnes vibrations

Collection « Movies » Chandos

La collection « Movies » (Label Chandos) propose de (re)découvrir  des musiques de films réenregistrées par le BBC concert orchestra, sous la baguette du chef d’orchestre Rumon Gamba.

Il s’agit pour l’essentiel d’une présentation, sous forme d’intégrales ou de suites, de musiques écrites pour des films anglais et américains entre 1934 et 1970.

Le choix du producteur anglais s’est  porté sur des compositeurs anglo-saxons,  Ralph Vaughan Williams, Erich Wolfgang Korngold, William Alwyn… et les français Georges Auric et Francis Chagrin.

A noter la présence de compositeurs qui ne sont pas, à proprement parlé, « classiques », mais dont la musique prend une forme symphonique et, peut-on dire, « néo-classique » ; ainsi Ron Goodwin, Stanley Black, Clifton Parker…

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Musique : les bonnes vibrations

Next stop… Soweto : township sounds
from the golden age of mbaqanga.
Strut, 2010.  1 CD

En mars 1960, après les massacres de Sharpeville, et l’emprisonnement de Nelson Mandela, le gouvernement sud-africain renforce les lois sur l’apartheid en interdisant aux personnes de couleur toutes formes de création culturelle. Certains artistes choisissent l’exil, comme Miriam Makeba et Hugh Masekela, d’autres vont continuer dans l’ombre ou prendre le risque d’enregistrer et de diffuser leurs compositions sur les radios des pays voisins.

Cette compilation donne la mesure de la richesse de création des musiciens noirs pendant la période la plus sombre de l’histoire de l’Afrique du Sud. Parmi les groupes phares de cette période,  les « Mahlathini Queens », « Lucky Strike sisters » et « Melotone sisters », des musiciens et chanteuses qui reprennent les grands thèmes des chants  traditionnels zoulous, y associent de la musique urbaine créant un nouveau style de musique, le mbaqanga.

A écouter à la section « Image et son »

– Isomiso / Mahlathini and Mahotella Queens with the Makgona Tsohle Band. Celluloid, 1983. CD
– Sebai bai / Mahotella Queens.  Label Bleu / Indigo, 2000.  CD
– Eyes on tomorrow / Miriam Makeba avec Hugh Masekela. City médial two / Polydor, 1991.  CD
– Afrique du sud. Sunset, 2001.  CD. (Air Mail Music)
– Third world child / Johnny Clegg and Savuka. EMI, 1987.  CD

« Vinyl » à la Maison rouge

Jusqu’au 16 mai 2010, la Maison rouge à Paris, donne à voir 800 pochettes de disques prêtées par Guy Schraenen collectionneur de 13000 disques, revues, CD, K7 et objets sonores (sélection).

« Ce format est exceptionnel, les artistes l’ont tous aimé et se sont parfaitement glissés dans ce 30X30 (…..) Artistes d’avant- garde, pop, lettristes ou poètes sonores. Ce qui m’intéresse, c’est le rapport entre la création de la pochette et le contenu du disque : la plupart du temps, c’est le même artiste qui a créé les deux… »
Guy Schraenen  in : Libération du 26/02/2010

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